Je viens de terminer la lecture de « Gagner n’est pas jouer » d’Harlan Coben que j’avais récemment acheté pour poursuivre la lecture de cette série de polars.
Quatrième de couverture : Un vieil homme sauvagement assassiné à New-York. A ses côtés, une toile de maître et une valise portant l’inscription WHL III. WINDSOR HORNE LOCKWOOD III.
Win. Un privé aux méthodes très spéciales, héritier d’une influente famille américaine. Quel lien entre ce crime abject et les Lockwood ? Le passé remonte à la surface. Une jeune fille séquestrée dans la « cabane des horreurs ». Un groupe d’ados illuminés devenus terroristes. Une spirale de colère, de haine, de vengeance, que rien ne semble pouvoir arrêter. L’heure est venue pour Win de faire justice lui-même.
Mon avis : Nous sommes ici ans une histoire qui met seul en scène le personnage de Win (sans Myron et les personnages habituels) même si quelques anciens personnages apparaissent ici et là. Win part donc sur une enquête afin de solutionner et comprendre l’affaire d’enlèvement de sa cousine et la port de son oncle. Ici on retrouve Win toujours un peu loufoque à la différence près qu’il s’est un peu assagit niveau violence (même si l’histoire commence fort). Le livre se lit facilement et rapidement et la fin est assez surprenante et inattendue sur plusieurs plans.
Bref, un bon Harlan Coben (peut-être pas le meilleur) que je recommande vivement pour une nouvelle enquête avec Win qui nous avait manqué.
