Première lecture d’un livre de Nicolas Beuglet avec « Le passager sans visage » que j’avais acheté un peu par hasard en voyant le titre, la couverture et la quatrième de couverture. J’avais un peu commencé la lecture et j’ai eu le temps de voyage en train pour avancer et le terminer !
Quatrième de couverture : Tu n’es pas seule à chercher »… Ce mot anonyme laissé sur son paillasson est plus qu’un appel : un électrochoc. Cette fois, l’inspectrice Grace Campbell le sait, elle n’a pas le choix. Elle doit ouvrir la porte blindée du cabinet situé au fond de son appartement. Et accepter de se confronter au secret qui la hante depuis tant d’années…
Des confins de la campagne écossaise aux profondeurs de la Forêt-noire où prend vie le conte le plus glaçant de notre enfance, jamais Grace n’aurait pu imaginer monter dans ce train surgi de nulle part et affronter le Passager sans visage…
Mon avis : Le livre se lit facilement avec des chapitres relativement courts. Plusieurs sujets sont abordés. La solitude du personnage de Grace Campbell et ce qui a bien pu lui arriver quand elle était enfant ; les comtes d’enfants qui qui cachent des choses terribles, le projet Kentler (que je connaissais pas) et le sujet de l’abus sexuel sur des enfants. On s’attache vite à l’héroïne de ce livre.
Seul bémol, la fin m’a laissé un goût d’inachevé. Du coup, en cherchant sur Internet, j’ai appris qu’il avait eu déjà un livre avec ce personnage et que la fin est liée… D’ailleurs, il y un livre qui vient après.
Bref ! Une belle découverte. Un auteur à découvrir un peu plus dans les prochains mois.