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Centre ville

Trois ans et demi après “Liberté Chérie”, Calogero est de retour dans les bacs – et dans nos oreilles – avec “Centre ville”, son huitième album studio depuis 2000. L’album est sorti vendredi dernier et il est actuellement classé N°1 !

Le CD-livre est plutôt joli avec une belle couverture glacée. L’intérieur du livret est simple (pas de photo de Calogero) avec des éclairages des phares de la voiture présente sur la pochette. L’album comporte 12 titres et dure 51 minutes.

Le premier morceau “C’était mieux après” est un bon titre pour ouvrir cet album. De belles notes et un plaisir intact à retrouver la voix de Calogero sur des nouveaux titres. La musique est entrainante avec la puissance des instruments. Un premier coup de coeur.

Place ensuite à “Mauvais perdant” qui est le premier morceau calme de cet opus. Une belle musique même si ce n’est pas mon titre préféré.

On enchaîne avec “Centre ville”, un titre de Benjamin Biolay (comme le précédent) beaucoup plus entrainant. Un second coup de coeur que je vois bien comme futur single.

A nouveau, on alterne avec un titre plus calme “Celui d’en bas“et son très beau début musical au saxophone. Calme (mais pas tant que ça) et entrainant.

L’écoute se poursuit avec un titre à nouveau entrainant “Vidéo” avant de nouveau de passer à un titre plus calme : “Le temps” (qui ne fait que passer).

Nous sommes (déjà), à la moitié de l’album et l’équilibre entre les titres entrainant (que j’ai tendance à préférer) et les titres plus calme est parfaitement respecté.

La seconde moitié de l’album continue avec “La rumeur” qui était le premier single de nouvel album. Un titre bien choisi à l’époque, un titre entrainant qui parle des effets pervers des réseaux sociaux. C’est un coup de coeur de plus.

On enchaîne par un quatrième coup de coeur avec “Peut-être” que je trouve original. Un titre assez dépouillé avec un instrumental progressif tout en intensité (comme ce fut le cas avec les titres “Le vélo d’hiver” et “Les feux d’artifices” sur les deux précédents albums).

Place à “Cinq heures et quart“, un titre entrainant sur le thème de l’espoir à garder après une séparation pour poursuivre avec le titre que Calogero avait composé et dévoilé lors du confinement du printemps : “On fait comme si“.

A ce stade, il reste désormais deux titres. Personnellement, je les aurai inversé (je trouve que “Titanic” aurait clôturé l’album comme il avait commencé, c’est à dire de façon magistrale !). Quoiqu’il en soit, “Stylo vert” est un beau titre calme et “Titanic” est mon cinquième coup de coeur (sur 12 titres). Un titre à l’apparence calme qui s’intensifie progressivement avec une voix magnifique de Calogero.

Bref, un très bel album de Calogero. Je ne sais pas comment il fait : à chaque fois l’album est beau et le suivant l’est toujours autant ! Personnellement, j’imagine bien “Centre Ville”, “Vidéo” et “Titanic” comme de futurs single. Comme à chaque fois, on attend désormais la tournée avec le plus grande impatience !

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